Les 26 communes du coeur de la Haute Lande

Les 26 Communes

La Communauté de Communes CÅ“ur Haute Lande est créée le 1 janvier 2017. Elle se compose de 26 communes.

 
Argelouse

Hier Argelouse était une « extrémité de la terre Â» pour Mauriac. Aujourd’hui, c’est une petite commune du « CÅ“ur Haute Lande Â».

Cette identification nouvelle génère un élan vers des projets qui, s’inspirant du passé, marchent vers l’avenir.

L’église Saint André dont le plan évoque le XIIIème par quelques vestiges romans est une exceptionnelle église médiévale peinte et à ce jour restaurée.

L’acquisition de l’ancienne auberge Larrival par la municipalité en 2015 a permis de mettre à jour sur ce lieu des vestiges de potiers datant du 18ème.

Le projet de réhabilitation de cette ancienne auberge dans le cadre de la « revitalisation des bourgs ruraux Â» s’orientera vers la sauvegarde environnementale paysagère et patrimoniale afin de faire revivre ce lieu.

Argelouse dans le « CÅ“ur Haute Lande Â» c’est aussi un havre de verdure au bord de la petite Leyre dans le parc naturel régional des Landes de Gascogne, un écosystème où se régénèrent vie animale et végétale.

L’harmonie et le silence de ce lieu naturel et protégé d’Argelouse « n’empêchent pas de dormir Â» mais incitent le passant à la visite, la promenade, l’introspection, la découverte d ’une nature encore vraie.

Au cœur de la forêt des Landes, sur la Petite Leyre, commune du parc Naturel Régional des Landes de Gascogne.

L'étymologie de BELHADE vient du gascon "Vath lada" (vallée large) désignant la vallée dominée par le château Rochefort Lavie édifié au XIIIè siècle, reconstruit au XVIII e siècle, inscrit aux Monuments Historiques depuis 2001.

Fière de son prix obtenu en 2010 au concours des villes et villages fleuris "label 1 fleur", il fait bon vivre à Belhade dans un environnement tourné délibérément vers la nature.

L’église Saint Vincent de Xaintes date du XIè siècle, inscrite aux monuments Historiques depuis 1968, elle suscite de nombreux visiteurs, de même que la Fontaine Sainte Anne.

Ce petit village a pour ambition de vouloir peser au sein de la Communauté de Communes Cœur haute Lande dans le tourisme vert.

Bélis est une petite commune puisqu'elle est sise sur seulement 2000 hectares, forestière par excellence puisque 1700 hectares y sont boisés.

La Commune en possède 210h et  1490h constituent une forêt privée. Dans le cadre du PLU ( Plan Local d'Urbanisme), le conseil municipal a choisi un développement raisonné et une revitalisation de certains quartiers plutôt qu'un fleurissement de lotissements.

Le visiteur qui arrive à Bélis a, tout de suite, l'œil attiré par le clocher de son église, très différent des clochers murs landais. Il possède une petite flèche couverte d'ardoise dressée sur une tour carrée de briques rouges. Cette église datant du 14ème siècle est ornée d'un portail roman en chêne de la même époque. A l'intérieur, elle est à double nef, avec un rétable en bois doré et des vantaux classés depuis 1977 au titre des monuments historiques. Une classe de CM2 y est installée. Des familles avec de jeunes enfants font maintenant, plus facilement, le choix de vivre dans cette commune. La population, en constante augmentation, est de 163 habitants lors du dernier recensement.

Depuis 2014, Bélis est entrée dans le PNR ( Parc Naturel Régional) avec ses deux voisines, Canenx et Maillères. Elle a ainsi rejoint l'ensemble des communes du canton de Labrit.

Le village se pare de très beaux airiaux disséminés sur tout son territoire ainsi qu'un certain nombre de maisons patrimoniales datant des 17 et 18ème siècle. La plupart de ces demeures revivent et sont à découvrir au gré des nombreux chemins ruraux qui les desservent.
Autour de l'église, on peut découvrir un jardin partagé, géré par une association locale et un jardin mémorial dédié à un ancien curé de la paroisse, résistant et déporté pendant la guerre 39/45.

On peut penser que les pèlerins de Compostelle qui suivaient la voie limousine, voyaient le clocher de Bélis de très loin en venant de la Commanderie de Bessaut. Ils franchissaient à l'est du village un petit ruisseau, le Pécusin, et se dirigeaient ensuite vers Saint-Avit.
L'histoire du village est riche de multiples anecdotes, hommage au roi d'Angleterre en 1253, hommage à Gaston Fébus en 1343, propriété ensuite des seigneurs de Roquefort.

L'été, les ombrages de la place de la Mairie permettent aux visiteurs de faire une halte avant de parcourir le village et d'en découvrir ses multiples facettes et ses petits coins de charme.
N’hésitez pas à venir y prendre votre temps...

Brocas les Forges est la porte d'entrée du Pays des Landes de Gascogne pour qui vient de Mont-de-Marsan, est cité ouvrière du XIXème siècle présentant les témoignages d'une ancienne activité métallurgique. Cette commune possède un étang de retenue, un musée et un site des Forges attestant de cette activité. L'étang de Brocas est alimenté par l'Estrigon et quelques autres sources. Il est idéal pour les ballades à pied, la pêche et le pédalo. La commune de Brocas compte également trois lagunes situées entre les lieux dits des Trepèdes et de Chapaou sur la route de Vert. La mairie est un bâtiment public créé dans les années 1990 avec une architecture particulière: ouvertures en arc et décorations sur du béton peint et de la mosaïque. Les Forges ont été classées monument historique.

Musée des Forges

En 1830, Brocas obtient l'autorisation de construire un haut fourneau, c'est-à-dire un four destiné à la fabrication de fonte à partir de minerai du minerai de fer. Trois ans après la première mise à feu a lieu et ce haut fourneau devient la principale activité économique du village, témoin de l'essor industriel du XIXème siècle dans les Landes. Cette activité valorisera les ressources locales telles que la garluche, pierre des Landes qui alimente les forges (ce nom a donné naissance à un apéritif artisanal landais à base de vin blanc), le minerai de fer local, le bois des pins transformé en charbon et le réseau hydraulique du moulin à eau de Brocas. Cette aventure durera soixante-dix ans, les Forges fermeront leurs portes en 1904. Quelques temps avant, en 1989, nait l'association "les amis des forges de Brocas" qui restaure le haut fourneau et ouvre le musée des forges, dans la minoterie, qui retrace l'histoire des forges.

La course landaise est une particularité de notre département. De nombreux landais et landaises y sont attachés. A Brocas, les arènes ont été restaurées récemment. Mais il n'y a pas que les arènes en témoignage de cette caractéristique landaise. Brocas renferme une ganaderia.

La ganaderia Malabat

La ganaderia Malabat est un élevage de taureaux de combat née en 1993 de la passion de deux hommes pour la corrida et la course landaise. Cette entreprise compte une centaine de bêtes et propose des journées à thème. Ainsi il est possible d'aller aux Ferrades pour observer le marquage au fer rouge des veaux de l'année ou de participer au Réveillon taurin (cocarde et soirée dansante) ou encore de visiter l'élevage. La ganderia suggère aux groupes de venir se restaurant dans son restaurant.

Callen est un petit village français, situé dans le département des Landes et la région d'Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Callénois et les Callénoises.

La modeste commune de Callen s'étend sur 8 500 hectares et compte 151 habitants, dispersés entre son bourg et la vingtaine de hameaux qui la composent. Elle est sillonnée par la petite Leyre qui prend sa source à proximité et une dizaine de ruisseaux, avec un environnement naturel remarquable. Conserver son identité tout en se donnant les moyens de s'agrandir : tel fut la philosophie du cahier des charges pour la réalisation d'un plan local d'urbanisme (PLU). Un projet initié par l'ancien maire, Ginette Milan, et son équipe municipale, il y a un peu plus de six ans et que le maire actuel, Joël Pelosi, et les nouveaux membres du Conseil se sont attachés à mener à bien. Entre-temps, les règles d'urbanisme ont été modifiées par les deux Grenelle de l'environnement et les élus ont dû les intégrer au PLU par une délibération du Conseil municipal en juin dernier. Le document a été présenté aux Callénois dans l'ancienne bergerie restaurée du bourg qui sert de foyer municipal.

Le document d'urbanisme, rédigé par un cabinet bordelais, prévoit les aménagements nécessaires pour une population qui passerait à 200 habitants d'ici 2020, avec l'ouverture d'un lotissement de neuf lots sur près de 2 hectares, dans la continuité de l'existant sur la route de Préchac. Une urbanisation qui doit préserver le front bâti le long de l'axe de la RD 4, l'identité paysagère et la typologie des maisons mitoyennes du bourg, ainsi que la perspective visuelle sur le clocher de l'église en venant de l'est. Le lotissement suivra l'esprit de l'airial, avec à proximité une magnifique chênaie, préservée et protégée, et un cheminement piéton. Il est aussi prévu d'ouvrir quelques zones agricoles pour l'installation de petites exploitations.

Entouré par les communes de Luxey, Bourideys et Captieux
Situé à 90 mètres d'altitude, La Rivière La Petite Leyre, le Ruisseau de la Hure, le Ruisseau de Pince sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune de Callen.

Callen est une commune du Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne.

Les édifices de Callen :

Église Saint-Pey
Fontaine Saint Eutrope au lieu-dit de l' « Ancien Bourg Â». On y célèbre une messe tous les 30 avril.
Bergerie traditionnelle derrière l'église

CANENX ET REAUT est un petit village des Landes situé dans le canton Haute Lande Armagnac, à 15Km au nord de Mont de Marsan.

Le territoire de la commune, principalement composé de pins s'étend sur un peu plus de 2800Ha.

Une des particularités du village est qu'il possède deux châteaux, un encore occupé, l'autre en ruine ainsi que deux églises.

Situé au sud du canton de Labrit, le village fait maintenant partie du Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne. 

Le territoire communal s’étend sur une superficie de 3987 hectares au cœur de l’immense espace forestier des Landes de Gascogne. La surface boisée à Cère est de 3650 ha, soit environ 95 % de la surface communale, dont 930 sont propriété de la Commune. L’altitude varie de 44 m aux abords de l’Estrigon à près de 100 m d’altitude au Nord-Est du territoire.

La commune de Cère est située dans la partie centrale du département des Landes. Elle se situe à 15 km au Nord de Mont-de-Marsan (Préfecture des Landes), et à 14 km au Sud de Labrit, chef-lieu de canton et de la Communauté de Communes du Pays d’Albret à laquelle elle appartient.

Composante des Petites Landes, le territoire de Cère est au Nord du territoire du Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne, et au Sud de la Communauté d’Agglomération du Marsan. C’est en ce sens que la position géographique de Cère est toute à fait particulière. A cheval sur deux territoires profondément opposés, elle se rapproche, en termes d’évolution territoriale, plus de Mont-de-Marsan que la plupart des autres communes de la Communauté de Communes.

La commune a réussi à préserver et à développer une petite offre commerciale par la présence de son bar-restaurant-dépôt de pain, de son salon de coiffure et d’un petit marché proposant des produits régionaux savoyards tous les jeudis de 16h30 à 20h.
Un tissu associatif dynamique offre un large panel d’activités aux habitants, que ce soit dans le domaine sportif, festif ou l’animation.

La toponymie de Commensacq offre trois versions :

»Commissius (Laroquette)

»Commensus (un gallo-romain influent qui fonda Commensacq)

»Commios (nom d'homme gaulois latinisé) et suffixe latin acum

Et même une quatrième étymologie   « quasi in aquis « comme dans les eaux, Commensacq se trouvant situé au milieu des marais

Commune, située en Grande Lande, altitude de 75 mètres et faisant partie du Parc Régional des Landes de Gascogne : 427 habitants (1 121 en 1890), pour une superficie de 7014 hectares, dont 642 hectares communaux. Aux siècles passés le sobriquet des gens de Commensacq était : « Les Pé-neugues Â» en patois

 Jusqu'à la révolution de 1789, Commensacq possédait une chapelle Notre Dame, de l'ordre de Malte, située à 50 mètres à l'est de l'église actuelle ; qui  fût église paroissiale avant le XV° siècle.  . L’église actuelle Saint Martin, du XI° siècle, fût une possession gasconne de l’évêché de Bethléem, construite en pierre ferrugineuse (autrefois, exploitation du minerai de fer ou peyre de lane ou garluche).

Les fresques ornant les voûtes sont tirés de la genèse et représente la création de l’homme.Eglise de style roman, en grande partie rebâtie au XVe siècle, fut fortifiée au siècle suivant lors des guerres de religion. Au XVIIe siècle est bâtie La Chapelle Sainte-Quitterie, transformée en porche au XIXe siècle. Le clocher actuel, de style néogothique, ne date que de 1866. Deux frises sculptées ont été remontées et adaptées autour du pilier occidental de la nef au début du XIXe siècle. Réalisées à la fin du XVe siècle, elles représentent des scènes profanes illustrant probablement les cinq sens. Dans le choeur, il faut noter la présence d´un splendide maître-autel réalisé par les frères Mazetti, originaires de Cevio en Suisse et installés à Avignon. L’église possède un calice en verre de Moustey, de l’époque de la révolution.

 Derrière l'église, un petit plan d'eau aménagé avec aire de pique-nique ; une passerelle mène à  la fontaine Sainte Quitterie qui  parait-il « guérit Â» les maux de tête.

L’airial Mexico-Loisirs, vous propose 7 hectares dédiés à vos loisirs : Des activités de plein air variées, pour tous les âges : éducation à l'environnement, animation petite enfance, découverte de la Leyre en canoë-kayak, tir à l’arc, accueil classes vertes et bien plus encore...

Par délibération du 31 mai 2012, le Conseil municipal de Commensacq a prescrit l’élaboration du Plan Local d’Urbanisme sur l’ensemble du territoire communal.

L’élaboration du PLU a été engagée sur la base des objectifs et des constats suivants :

Document à télécharger:

Comme tous les villages de France, Escource a une histoire qui, sans doute, remonte bien loin et que l'on a pu reconstituer… Mais il n’est pas question de remonter à l’époque préhistorique ! … Seulement quelques dates et faits précis, du moins on le suppose, pour tenter de retrouver le passé de notre village.

Son nom trouverait son origine dans le mot latin « auscultare » donnant en gascon « escout » c’est à dire « poste de guet » trouvant son explication par la position caractéristique occupée par le village sur la voie directe BORDEAUX-ESPAGNE .

L’ancienneté d’Escource se confond avec celle de son église datant de 1077 et dédiée à Saint Martin, né en Hongrie en 316 (dont l’histoire est bien connue) et qui est resté son patron. Elle fut brûlée et reconstruite.
Les réunions du Conseil avaient lieu dans l’église, à la fois maison de Dieu et maison du peuple, faute de l'existence d'une maison communale.

Après le vote de la Constitution Civile du Clergé, le curé Hosseleyre, très aimé des paroissiens, refuse de prêter serment et part en Espagne en septembre 1792. Pendant la révolution, on lève à Escource, une compagnie de 63 hommes et, en 1793, la levée en masse, décidée par la Convention, prend 29 jeunes célibataires de 18 à 25 ans.

Le régime de Napoléon 1er par ses réquisitions, la conscription, les exigences des services publics, se rend impopulaire …
La Monarchie de juillet, ramenant la paix, une ère nouvelle va s’ouvrir.

Venez visiter le site de la commune en cliquant sur le lien : http://www.escource.fr

Garein

L’origine du nom est mal connue. Il s’agirait plutôt du nom d’un personnage ayant une racine wisigothe.

La commune est située sur l’ancienne voie romaine de Bazas à Vieux-Boucau, qui devint la route de Compostelle. Dès le douzième siècle, les seigneurs de Garein figuraient parmi les chevaliers de « la cour  del Sers Â». La tradition veut que la seigneurie se situe au lieudit le PIAT, le long du chemin reliant Sabres à Garein.

Jusqu’au milieu du dix-neuvième siècle, le centre du bourg ne comportait que l’église entourée de son cimetière, la cure et une auberge faisant office de relais. Les habitations étaient dispersées dans des quartiers ou isolées sur les airials.

La création à la fin du dix-neuvième de la nationale reliant Sabres à Mont-de-Marsan a participé au développement du centre bourg.

L’église romaine est inscrite aux Monuments Historiques. Restaurée récemment, elle date principalement des onzième et douzième siècles avec un clocher mur, une abside fortifiée. La chapelle latérale et l’entrée sont du dix-huitième. L’église possède des peintures murales dans le cœur ainsi que dans la chapelle latérale, des chapiteaux romans et du mobilier du 18ème.

La création d’une usine de résine a favorisé le développement du village.

La population de Garein est aujourd’hui d’environ 450 habitants. Elle était de près de 800 avant la guerre de 14-18.

La commune qui représente 5 709 Ha est essentiellement forestière.

Labouheyre" la qualité de la ville, l'esprit village"

Labouheyre (2 507 habitants) commune importante de la Communauté de communes de la haute Lande bénéficie d’une situation privilégiée, dans le plus grand massif forestier d’Europe, à 45 minutes de Bordeaux, 20 minutes de l’Océan et 1 heure de l’Espagne. Cette « porte sud » du Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne en fait l’endroit idéal pour vivre et travailler au contact de la nature, dans un site recherché pour passer des vacances...

Une ville étape conviviale

Lieu idéal pour accéder aux divers sites du Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne et aux activités nautiques et balnéaires des lacs et de la côte. Labouheyrepropose toute une gamme d’hébergements : des hôtels et des restaurants confortables et conviviaux, une gastronomie fidèle à l’esprit landais si accueillant, ainsi que : Le « Domaine Touristique du Parc de Peyre ». Des gîtes forestiers 5 et 7 places en location toute l’année, une aire naturelle de camping du 01/06 au 30/09.

Renseignements Mairie, Service Tourisme : Tél. 05 58 04 45 10 – Fax 05 58 07 01 09

Venez visiter le site de la commune http:www.labouheyre.fr

Des services complets

Labouheyre, propose tous les commerces de proximité, et des services complets, distributeurs automatiques de billets, stations service 24/24, médecins, dentistes, pharmacie, kinésithérapeute, infirmières…

Une mairie au service de la population.

Labouheyre met à la disposition des visiteurs et des habitants tout un ensemble d’activités, d’équipements et de loisirs.

Pour les aînés :

un restaurant municipal, des logements spécifiques, un service de portage de repas à domicile. Un service d'aide ménagère et soins à domicile pour les retraités assuré par la Communauté de Communes.

Pour tous:

une bibliothèque, un cinéma, la Maison de la photographie des Landes Espace Félix Arnaudin, http://www.photolandes.fr, des jardins familiaux, un centre social, une soixantaine d’ associations sociales, culturelles, sportives et de loisirs, des plans d’eau de loisirs et de pêche. Une baignade surveillée en juillet et août.

Un marché hebdomadaire le dimanche matin, permet de se ravitailler en produits frais, dans un cadre agréable et convivial.

Labrit

Labrit se situe au chÅ“ur du Pays des Landes de Gascogne. La Commune  s’étend sur plus de 7 200 hectares, et bénéficie depuis 1990 d’un redressement démographique important, puisque le village est passé de 666 habitants en 1990, à environ 900 aujourd’hui. 

Ceci est essentiellement dû à l’arrivée de familles avec enfants, ainsi qu’à la volonté des élus de maintenir l’attractivité du territoire. Sur ces 10 dernières années, de nombreux travaux ont ainsi vu le jour : la rénovation de l’église, la mise en sécurité de l’accès à l’école maternelle, la rénovation de la place du fronton, l’achat du bâtiment de la Poste pour permettre le maintien de ce service public, la construction d’un centre de traitement du courrier, ou des travaux de voirie et d’enfouissement de lignes par exemple. 

Afin d’aménager le territoire et de répondre aux besoins des familles, un collège, d’une capacité de 450 places (extensible à 600) a été construit par le Département. Ouvert depuis la rentrée 2015, il  s’inscrit dans une dynamique locale, l’éducation étant une priorité sur le territoire de la Communauté de Communes. Il accueille les élèves d'Argelouse, Bélis, Brocas, Callen, Canenx-et-Réaut, Cère, Garein, Labrit, Le Sen, Luglon, Luxey, Maillères, Sabres, Sore et Vert. 

Pour les plus jeunes, Labrit  dispose d’une école maternelle, qui accueille les enfants de la très petite  section à la grande section. 

Pour pallier à l’augmentation de la population, de nouveaux lotissements ont  Ã©té construits au fil des années : la Commune en compte actuellement six sur son territoire, représentant une superficie d’environ 14 hectares. En 2015, le lotissement Jeanne d’Albret III a vu le jour. Il est constitué de 15 lots, de 530 à 1 115 mètres carrés. Ce nouveau lotissement permet ainsi la poursuite de l’urbanisation de la Commune. 

Village dynamique, Labrit accueille les services essentiels pour la population : bureau de tabac, boulangerie, supermarché, hôtel-restaurant, café-bar associatif, bureau de poste (avec un distributeur de billets), office notarial,  garage... 

La santé est aussi une priorité puisque le village dispose d’un centre médico-social (kiné, infirmières, nutritionniste), et d’une pharmacie. La Communauté de Communes a en outre contribué à l’installation d’un EHPAD, ainsi que d’un centre médical dans lequel 3 médecins exercent leur activité. Un projet de maison de santé d’une capacité supérieure (5 médecins) est également à l’étude. 

La Communauté de Communes a également développé des services de loisirs qui bénéficient à notre village, ainsi qu’à ceux situés aux alentours : un nouveau gymnase  Ã  côté du collège, un centre de loisirs avec une piscine ouverte durant la période estivale, et une bibliothèque. 

De nombreuses associations participent fortement  Ã  l’animation du village en organisant des lotos, fêtes locales, vide-greniers, marchés de Noël, Marchés de Producteurs de Pays, chorales, spectacles, réunions,  activités sportives... 

La Commune veille  particulièrement au maintien de son patrimoine forestier : de 2012 à 2016, 184 hectares ont été reboisés et 44 hectares ont été acquis. En 2016, la superficie totale forestière appartenant à la commune était ainsi d’environ 632 hectares. L’achat régulier de nouvelles parcelles permet ainsi à la Commune de conserver son patrimoine forestier, mais également de bénéficier d’une réserve foncière pour anticiper et développer des opérations d’aménagement. 

Sur le territoire de la Commune se trouvent aussi les vestiges du château d’Albret. Construit en bois dans les années 1225-1230, il constitue le berceau des seigneurs d’Albret, noble famille gasconne qui étendra son influence au cours des siècles, jusqu’à l’accession au trône de France d’Henri IV. Le site a été classé le 27 décembre 1990 par les Monuments historiques.

Les croix de sauveté du Prieuré du Sen

Ces croix de pierre érigées au sommet d’une colonne marquaient les limites du Prieuré, asile-hôpital pour les pèlerins au Moyen-âge. Trois d’entre elles ont été retrouvées, deux sont sur le domaine public et ont été restaurées.

Le Sen n’a pas conservé d’autres vestiges de son passé centré sur le Prieuré disparu mais immortalisé par Félix Arnaudin en 1899. C’est probablement un sire d’Albret qui a fondé le Prieuré du Sen au milieu du XIII° siècle. Cette petite implantation monastique - hôpital et dépendances, terres et métairies - proche du château de Labrit situé dans la même paroisse, a été donnée à l’évêché de Bethléem, seigneurie en Terre Sainte, en soutien des croisades. Une chapelle, vouée à Notre Dame, comme c’est souvent le cas pour les possessions de Bethléem est alors construite. Après les croisades, le Prieuré a survécu, sous le contrôle des Albret qui nomment eux même les prieurs. Après la conversion des Albret au protestantisme et la répression dont ils sont victimes, « la maison prieurale Â» ayant servi de refuge aux protestants doit, comme le château de Labrit, être démolie dans l’intérêt du roi. Mais le Prieuré est sauvé par le cardinal de Sourdis, archevêque de Bordeaux qui le rattache avec ses dépendances à la Chartreuse qu’il vient de fonder à Bordeaux. A la Révolution, le Prieuré et ses dépendances, devenus biens nationaux, sont vendus.

Quand Felix Arnaudin visite Le Sen, l’Eglise a été agrandie et transformée. Le Prieuré photographié alors, est utilisé comme auberge jusqu’à sa destruction en 1935. Sur ce site est alors construite la Mairie/Salle de réunions.

La Mairie et la Salle de réunions,

Dans les années 1930, la municipalité de Le Sen, comme tant d’autres dans le département, a souhaité disposer de nouveaux locaux pour sa Mairie très exigüe, et d’une salle de réunions publiques.

La construction d’une salle de réunion est considérée alors comme un acte républicain visant à instituer au sein du village un espace démocratique qui accueille syndicats et associations sociales et éducatives. La délibération du Conseil municipal du 11 août 1933 précise que ce projet « constitue une institution sociale […] s’inspirant des principes de Liberté qui sont chers à la population et que le Conseil entend respecter Â».

C’est aussi un acte visant à combattre les effets mortifères de l’exode rural en recherchant les moyens de rendre plus agréable la vie des campagnes : la salle est lieu de fêtes.

A l’heure actuelle cette salle accueille la cantine scolaire et une nouvelle salle des fêtes a été construite en 2010.

Liposthey est un village situé dans le nord du département des Landes, en Aquitaine. La population, en augmentation depuis une douzaine d'années, compte 501 lipostheyais selon l'INSEE au 01/01/2016.

L'environnement de Liposthey est typique du massif forestier des Landes de Gascogne avec ses grandes étendues de pins maritimes. La superficie de la commune est de 2397 hectares.

Liposthey est à peu près à équidistance de Bordeaux, Mont-de-Marsan et Dax.

L'autoroute A63 (Bordeaux - Bayonne) dessert le village au niveau du diffuseur n°17. Par cet échangeur on accède à la D43 qui relie Biscarrosse à Pissos.

Liposthey est à une vingtaine de kilomètres des Grands Lacs, à 35 kilomètres de l'Océan Atlantique et à 55 kilomètres du Bassin d'Arcachon.

Par la suite, le tracé de la voie antique devint celui de la route royale de Bordeaux à Bayonne. Un relais de la poste fut créé à Liposthey en 1464. Le village se retrouve ainsi mentionné comme relais de poste à cheval sur la carte dressée par les géographes du Roi Louis XIV en 1676.

Cité sur la carte des chemins de Saint-Jacques de Compostelle de 1648, Liposthey fut aussi fréquenté par les pèlerins empruntant la voie de Tours. Un hôpital aurait existé dans le village pour l'accueil des pèlerins.

Au cours du Moyen Age, le village était un lieu de péage et le nom actuel de Liposthey viendrait d'un nom roman issu du latin médiéval "lucu posteriu" signifiant bois de péage. A cette époque, le nom du village était orthographié sans "h", c'est-à-dire "Lipostey". C'est seulement vers 1860 que la commune prit son orthographe actuelle avec l'ajout du "h".

Luglon, petite commune de 314 habitants pour 4107 hectares, peut révéler une genèse ancienne. « Lucus Longus », étymologie latine, pourrait signifier : «bois retiré » dans l’immense lande nue ou se trouvaient des bosquets d’arbres éloignés les uns des autres.

Est-ce que cette étymologie fut appliquée aux lieux par les romains ?
Des pièces de monnaie à l’effigie de César Auguste trouvées dans le bourg le laisseraient supposer.

On trouvera également un moulin à main et des ustensiles de cuisine d’origine maure dans un lieu dénommé « cimeteyre d’ous maoures » (cimetière des maures), ainsi que des pointes de flèches barbelées en silex taillé et des haches polies. Le dictionnaire archéologique de la Gaule suppose que Luglon fut également une station néolithique.
Quand l’on arrive de Sabres, d’Arengosse ou de Garein, c’est toujours la lande et les pins.

Le centre bourg rénové valorise l'habitat ancien entourant la place ornée d'une fontaine moderne sinusoïdale symbolisant les sources de la Grande Leyre, convergence de divers ruisseaux et "benades".

Nous sommes à la limite de la Haute Lande, où l’on rencontrait autrefois des troupeaux de moutons, aujourd’hui disparus et où l’on extrayait du minerai de fer. De magnifiques maisons landaises existent encore et illustrent l'architecture traditionnelle locale.

La commune s’étend sur une superficie de 16 000 ha. Elle est, avec Sabres, la plus étendue du département. Avant la dernière tempête, 14 500 ha étaient boisés, L’agriculture occupe environ 11 % du territoire.
690 habitants résident pour moitié dans la zone agglomérée, pour moitié dans les quartiers anciens, dont certains avec des airials remarquables. Des terrains viabilisés sont disponibles pour édifier des habitations, des ateliers artisanaux ou industriels sur 25 ha.

Des services

On y trouve tous les services de proximité, un artisanat développé, services sociaux, EHPAD, vétérinaire, l’école, l'agence postale communale, la caserne de pompiers, le VSAB…
Les équipements sportifs (terrain de sports, 2 tennis, fronton) et la salle des fêtes équipée d’une cuisine permettent  l’organisation de manifestations sportives et  festives.
Le Cercle de l’Union, café associatif fondé le 11 juillet 1897, fonctionne toujours aujourd’hui selon les principes définis par ses fondateurs.
Dix-sept associations particulièrement dynamiques assurent l’animation locale et organisent  fêtes locales, vide grenier,  courses cyclistes, rassemblement de confréries, ball-trap, animations pour les seniors, Marché de Producteurs de Pays …

Le Festival Musicalarue en août  multiplie par  60 la population pendant 4 jours !

Un patrimoine remarquable

- L’atelier des produits résineux (écomusée de la gemme), inscrit aux monuments historiques par arrêté du 19 février 1990.
- La Maison de l’Estupe Huc créée pour sensibiliser le public sur l’importance de la prévention contre les incendies de forêt et l’informer des moyens de lutte et leurs évolutions. Le nom Estupe Huc signifie en gascon « Ã©teins le feu Â». On y trouve notamment une pompe manuelle mobile, inventée en 1934 par un sylviculteur luxois, qui permettait d’alimenter une lance incendie en puisant l’eau de la nappe phréatique.
- Des maisons anciennes dont trois dans le bourg. L’une, datée de 1772, porte le  poinçon de la ferme de façade orné de la poule et du renard, devenu l’emblème du Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne. Une deuxième, construite au XVIIIème siècle, a accueilli le cercle de l’Union jusqu’après la deuxième guerre ; la  troisième a été  Ã©difiée en 1781.

- L’Eglise Saint Jean-Baptiste, construite de 1874 à 1877 a été conçue par l’architecte Ozane. La décoration intérieure est exceptionnelle par la richesse du décor peint sur les murs et les voûtes en accord avec les carreaux de sol décorés. Oblongue, de grandes dimensions (37 m x 19 m), elle est surmontée d’une flèche de  30 mètres de haut.

- La Petite Leyre, rivière aux eaux fraîches et limpides, est bordée d’une exubérante forêt galerie et de  petites plages ombragées

Maillères est le village le plus à l’est de la Communauté. Ses deux cent quinze habitants occupent  mille cinq cent hectares. Sa  vingtaine d’ airials répertoriés et sa dizaine de bâtis classés, des éléments de petit patrimoine pigeonniers, fours à pain, granges permettent d’afficher et de préserver son caractère haut landais….

Autour de la mairie et de l’église dont le chÅ“ur et la nef datent du onzième siècle, du cimetière et son très beau  portail d’entrée, la salle des fêtes rénovée, le restaurant communal, le kiosque et ses quillets  permettent  d’organiser quelques activités  sur la place Lesperon où chaque automne  les maillérois plantent arbustes et massifs pour tenir compagnie à la légendaire glycine.

Des activités passées, il reste une grande cheminée ; aujourd’hui, outre la sylviculture, Maillères compte deux agriculteurs, un menuisier, une pisciculture, une petite entreprise de travaux à domicile, ABC.

Un filet d'eau baguenaude au fond de la place; il est tellement petit qu'il n'a pas de nom, c'est Le Ruisseau. Et à l'automne, les habitants ont caché des bulbes tout autour, pour l'encourager dans son voyage jusqu'à la Gouaneyre, qui court jusqu’à la Douze, au fond du village. Ce qui nous vaut une zone Natura 2000 et des paysages de bord d’eau magnifiques.

Maillères était déjà habitée à l’âge du bronze, on y trouve des vestiges de l’époque protohistorique à  Saint-Rémy et Maysonnabe,  et à Chicot une motte cadastrale médiévale.  Le chemin de Compostelle la traverse depuis cette époque. C’est dire s’il y fait bon vivre.

L'auberge de Maillères est ouverte au :
115 route de Roquefort
40120 Maillères
Tel: 06 60 54 73 53/06 68 55 34 63/ 05 47 31 04 34
fermeture le lundi

Mano (en gascon : Manòr) est une commune située dans la Forêt des Landes.

Elle se trouve dans le Parc naturel régional des Landes de Gascogne et elle est la seule commune des Landes à faire partie de l'aire urbaine de Bordeaux.

La forêt de pins c'est une culture. Elle vit, elle change, elle renait...

Mano est une commune forestière située dans le parc naturel régional des Landes de Gascogne.

A Mano l'altitude moyenne est de 63 mètres : 38 mètres pour le point le plus bas et 74 mètres pour le point le plus haut.

En 1983, monsieur Dupertout a légué à la commune une superbe forêt de quatre cent vingt huit hectares. En 2009, Raymond Mano (très vieille famille de Mano) a également offert par donation 59 hectares de forêt à la commune.

Le paysage forestier a été frappé par les tempêtes de 1999 et 2009. Les vieux pins ont laissé la place à de jeunes plants... Un paysage différent toujours traversé par le ruisseau de Roumehort âme de cet espace naturel.

Monotone le paysage ! Vous n'y pensez pas...

Au bout d'un chemin, vous pouvez découvrir une magnifique chênaie.

Le long d'un sentier un ruisseau chemine.  

Derrière une butte un étang sommeille... 

Un village aux 3 églises

Des singularités qui font la fierté des mousteyais. Moustey aiguise la curiosité par ses deux églises face à face et une église à Biganon.

Plusieurs théories s'affrontent sur la raison de cette débauche d'édifices religieux (voir notre rubrique Histoire). Actuellement, l'une sert de lieu d'exposition et l'autre de lieu de culte.

En 1965, Biganon, un bourg isolé, à 6 km, à été rattaché administrativement à Moustey. Le village s'est alors enrichie d'une troisième église, St Pierre_ès-liens, du 11ème siècle

Mais ce n'est pas tout ! A 1 ou 2 kilomètre du bourg, le confluent des deux Leyres réunit la petite Leyre et la grande Leyre, qui devient ensuite en Gironde toute proche l'Eyre.

Ajoutez une pincée d'édifice public classés aux monuments du 20ème siècle comme la salle des fêtes et le château d'eau, et vous aurez un petit village de la haute lande qui ne passe pas inaperçu !

Une situation géographique privilégiée

A la limite des Landes et de la Gironde, équidistante de Bordeaux et de Mont de Marsan, à 8 km de l'A63.

Coté pratique, sa position limitrophe avec la Gironde en fait un village autant tourné vers Bordeaux et le bassin d'Arcachon que vers le reste des Landes. L'accès à Moustey est facilité par :

  • l'autoroute A63 (gratuite jusqu'à Bordeaux)
  • la D834 allant à Mont de Marsan (préfecture des Landes) qui traverse Moustey

Coté nature, le village est situé en plein cœur de la Haute Lande, au sein du Parc Naturel Régional, et au bord de la Leyre, rivière si précieuse à l'écosystème de cette région et du bassin d'Arcachon

A une heure de Bordeaux, trois quarts d’heure de Mont de Marsan et de la mer, Pissos au cœur de la forêt du Parc Naturel des Landes de Gascogne vous offre un espace de calme et de tranquillité.

Le village de 1430 habitants propose de nombreux services de proximité tant dans le domaine commercial que médico-social.

Les aménagements touristiques communaux de Testarouman, au bord de la Leyre, vous permettront de découvrir la rivière en canoë, son environnement à pied, en VTT ou à cheval  selon vos envies, de vous exercer au tir à l’arc, ou de tenter l’aventure sur un des parcours acrobatiques forestiers.

En cliquant sur les liens ci-dessous, vous découvrirez notre histoire locale et régionale.

Le bourg de Sabres étire ses quartiers sur 16 000 hectares de forêt.Son air sain aux senteurs balsamiques invite aux promenades et le quartier de Marquèze devenu Ecomusée de la grande Lande offre au regard du visiteur la magie de sa quiétude et de son art de vivre. Ballades en vtt ou en partant d'une base toute proche, promenades en canoë-kayak, permettent de découvrir au détour d'un sentier ou d'un méandre, la flore et la faune locales.

Dans un cadre incomparable, la commune présente un complexe touristique et sportif attractif et possède un patrimoine culturel original, notamment le quartier de Marquèze avec son habitat rural typique :1 salle polyvalente avec 600m² de salle de sport, 120m² de salle de réunion, 2 vestiaires,1 salle de musculation.1 stade municipal avec ses tribunes et ses vestiaires.1 plaine des jeux avec deux stades à 7 joueurs et deux à 11 joueurs dont un homologué pour les matchs. Le club house du foot avec licence IV et salle de réception 70m².

On trouve à sabres la pierre celtique de Grimann dite la "pierre levée". Des légendes et traditions sont nées autour de cette pierre. On y présentait des enfants qui tardaient à marcher afin de leur permettre de faire leurs premiers pas, croyait-on.

L'église fut érigée par les Bénédictins au 11ème siècle. Les premières restaurations dateraient du 15ème siècle. Aujourd'hui, l'église est classée monument historique, à l'exception de son porche et de ses bas-côtés. L'édifice possède un clocher triangulaire original avec trois niches où sont logées les cloches.

Saugnac et Muret

Au Nord de la CC CÅ“ur Haute Lande

Située au Nord du département des Landes (ancien canton de Pissos), limitrophe du département de la Gironde, Saugnac et Muret s'étend sur 109,37 km².
Aujourd'hui cette situation et son échangeur autoroutier lui confère un rôle de « Porte des Landes Â». En effet à partir de cet échangeur toute le Haute Lande est drainée par la RD 834 en direction de Mont de Marsan (Pissos, Sabres, Garein,...)Mais de par cette même situation Saugnac et Muret est aujourd'hui aussi fortement tournée vers l'agglomération bordelaise (30 à 40 minutes) ou le bassin d'Arcachon.

Le cap des 1000 habitants

Après avoir perdu quasiment 1000 habitants en cent ans entre 1882 (1500 habitants) et 1982 (550 habitants), la commune enregistre depuis cette date un regain démographique important qui devrait lui permettre de franchir à nouveau le cap des 1000 habitants en 2017 (année de recensement). 

Une dominante : le massif forestier gascon

Au cÅ“ur du massif forestier des Landes de Gascogne (altitude comprise entre 20 m et 64 m) elle se compose de 3 bourg principaux : Saugnac, Le Muret et Castelnau et de nombreux quartiers ou hameaux : Bop, les Gnics, Hourson, le Houdin, La Layère, locbieilh, Menjoy, ….Elle est traversée du Sud au Nord par la Leyre, rivière d'environ 115 km, à cheval sur les Landes et la Gironde et qui se jette dans le Bassin d'Arcachon. Outre la pinède, une grande partie de son territoire est couvert par des plaines agricoles (partie Ouest de l'A63). 

Du Muret à Saugnac pour revenir au Muret

Située sur la Via Turonensis, voie de Tours des chemins de Saint Jacques de Compostelle, le bourg du Muret est cité dés le XVème siècle sur divers récits de pèlerins (chapelle, hôpital, …) qui cheminent à pied vers le tombeau de l'Apôtre Saint Jacques à Compostelle.  Aujourd’hui encore cette pratique perdure et de nombreux pèlerins font escale à la Chapelle Saint Roch et profitent des tables de pique nique de l'airial environnant. Avec la politique de plantation de la forêt des Landes de Gascogne au milieu du XIXème siècle, Saugnac devient alors le bourg majeur de la commune. En effet les bois de pin et la résine partent sur des radeaux par flottaison depuis le pont de Leyre vers le Bassin d'Arcachon et des destinées plus lointaines (nord de l'Europe, États Unis d'Amérique, …). Au cours de la première moitié du XXème siècle cet essor économique profite au bourg de Saugnac (hôtel, restaurant, épiceries, pharmacie, artisans divers, â€¦). Mais la fin de l'exploitation de la résine et surtout le développement des voitures et des camions conduisent à la fermeture de tous ces commerces … http://fresques.ina.fr/landes/  vidéo : l'Arbre d'or (16 mars 1955)A partir des années 50, le bourg principal redevient le Muret situé sur la route nationale 10 (hôtels, restaurants, stations service, épiceries,...).

Une chapelle jacquaire fort intéressante 

Outre le côté « nature et rivière Â» et quelques édifices privés d’intérêt, on peut citer quatre monuments : 

  • La chapelle Saint Roch du Muret : chapelle romane (XIIème siècle) construite en garluche avec son clocher-mur semblable à beaucoup d'autres dans la région. Au dessus du porche d'entrée se trouve une cloche datée de 1654. Cette chapelle se dresse à l'entrée du bourg au sein d'un immense airial de chênes séculaires. L'ensemble forme un site naturel inscrit (depuis 1975). 
  • La fontaine Saint Eutrope : derrière cette chapelle au bout d'un petit chemin on trouve cette fontaine guérisseuse (maladie de peau / infections) 
  • Église Note Dame de Saugnac : dans le bourg de Saugnac, édifice du XVIIIème siècle fortement remanié au XIXème  siècle. Composée de 3 nefs dont la centrale se terminant dans le choeur elle est notamment ornée de splendides vitraux du XVIIIème siècle. A l'ouest une tour carré abrite le clocher. Enfin l'accès se fait par une porte d(entrée située plein Sud. 
  • Le Monument aux Morts de Saugnac : Å“uvre de 1923 sculptée par Robert Wlérick (1882 – 1944), sculpteur montois à la recherche d’un art calme, serein, équilibré et dépouillé. Les principales Å“uvres de l'artiste sont exposées au Musée DESPIAU-WLERICK de Mont de Marsan.

Un peu d’Histoire….

« Je veux faire du Département des Landes un des premiers départements de France, et à la Paix, un jardin pour ma vieille garde ». Ainsi parlait NAPOLEON1er, lors de son passage à TARTAS en Avril 1808.

C’est son neveu, NAPOLEON III, qui va successivement assainir, vivifier et civiliser cette contrée déshéritée et devenir le « Régénérateur des Landes ».

En 1857, l’Empereur achète plus de 7000 hectares de landes. Sur ces terres incultes, il crée un domaine expérimental de fermes modèles.

Un village est créé au centre du domaine : l’église, le presbytère, les maisons d’artisans, la mairie.

Et 26 cottages sont construits pour les ouvriers agricoles.

En 1863, une partie du Domaine est érigé en commune à la demande de NAPOLEON III et reçoit officiellement de nom le SOLFERINO.

Aujourd’hui, le village s’est étendu vers la gare. La plupart des habitants vivent de l’agriculture, la sylviculture et de leurs dérivés. La production principale est le maïs (grain et consommation), mais on cultive aussi à SOLFERINO pommes de terre, haricots verts, carottes…

Sore occupe une position privilégiée au cœur du Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne. Baigné par la Petite Leyre, le village s’est développé de part et d’autre de ce paisible cours d’eau, bordé d’une forêt aux essences préservées.

Depuis 30 ans notre population de résidents habituels est en constante progression. Nous avons passé le cap des 1000 habitants pour une superficie de 148 km2, ce qui donne bien sûr une faible densité de 7 habitants par km2. Nous ne manquons donc pas d’espace vital.

Au cours du temps, Sore s’est développé, dans l'axe de la Leyre, autour de 2 pôles, la « Ville », et le Bourg.

« La Ville » conserve encore les vestiges de sa puissance médiévale avec les restes d'une motte castrale de terre, de sa porte fortifiée du XIIIe siècle ou encore les ruines de la chapelle Saint-Rémi, halte appréciée sur les chemins de Saint-Jacques de Compostelle.

Au bourg, L'église Saint-jean-Baptiste, quant à elle, offre la richesse de ses fresques murales du XIVe et XVIe siècle qui retracent des scènes de vie du Christ.

Autre témoin du passé, le moulin à eau restauré par un privé, propose aujourd’hui chambres et tables d’hôte.

Ce n’est pas pour rien que nous nous flattons d’être au pays du bien vivre.

Si nos visiteurs aiment trouver chez nous le calme de la nature, ils apprécient également la légendaire convivialité landaise autour d'un repas ou d'une des nombreuses manifestations, organisées par la mairie ou les associations.

Dès juin, Sore se pare aux couleurs de l'été et de nombreuses manifestations culturelles ou festives ponctuent chaque fin de semaine. Piscine, tennis, circuits pédestres ou de VTT, mais aussi gîtes forestiers, chambres d'hôtes (publics et privés), camping constituent autant d'atouts touristiques qui favorisent un tourisme rural de qualité.

Si vous n’êtes que de passage chez nous, vous pourrez bénéficier d’un moment de détente sur l’aire de pique-nique aménagée dans la chênaie au nord de la mairie.

Notre modeste église du fin XVI siècle vous accueillera pour quelques instants de quiétude.

Le long de la Leyre, rivière paisible qui coule sur un lit de sable sous les arches d’une magnifique forêt galerie vous découvrirez la richesse de la flore et de la faune de ces espaces protégés loin du bruit et de l’agitation du monde moderne.

Lors d’une descente en canoë, vous serez, au fil de l’eau, sur l’épine dorsale du Parc Naturel Régional des Landes de Gascogne.

Vous pourrez au cours d’une randonnée de trois jours, suivre la Leyre jusqu’à son embouchure dans le bassin d’Arcachon.

Vous pourrez aussi vous promener à pied, à cheval ou à VTT en longeant la vallée creusée au fil des siècles dans le sable éolien des dunes continentales.

Vert

L’Église Saint-Vincent : de style roman, elle fut construite au XIIe siècle, puis d’origine gothique, des XIVème et XVème siècles, l’édifice religieux est donc constitué d’un mélange de styles.

Sa façade est curieuse : derrière un porche à entrée ogivale, le clocher mur encadré de contreforts est percé de deux ouvertures en plein cintre garnies de cloches, et flanqué d’une tour cylindrique à toit conique exhaussé d’un paratonnerre.

Elle fut remaniée à plusieurs reprises au cours du Moyen Age et dernièrement au XIXe siècle par l'adjonction d´un bas-côté.

Son chevet abrite de belles peintures murales restaurées il y a quelques années, organisées en plusieurs registres, elles mettent en scène de bas en haut : l'histoire de Saint Vincent, le Credo Apostolique et le Jugement Dernier.

Le Four à pain communal, rebâtit par un salarié et des stagiaires du Parc naturel régional des Landes de Gascogne, dont la commune fait partie. 

Le lavoir restauré sur le Bernin, la lagune protégée de Latapy, un ball-trap, un centre pour passer le permis de chasser, une cabane de résiniers restaurée, des gîtes privés, plusieurs associations dont deux chorales et un projet de circuits de randonnée font le charme de ce village.